lundi 11 juillet 2011

En mode préparation pour mon périple vélo-découverte dans les maritimes...

Et oui, je reprends la route avec un nouveau projet en poche!  C'est donc vers les maritimes que je débuterai ce voyage. L’objectif premier sera de parfaire mes connaissances sur le tourisme expérientiel et maximiser le potentiel de rendement de mon nouveau*concept à vélo.

À priori, pour démontrer la pertinence du vélo, en guise de moyen de locomotion privilégié pour mieux ce découvrir. J’appelle cela l’école de l’apprentissage par l’expérience!

Puisque, rien n’équivaut le plancher des vaches pour apprendre, je vous donnerez plus d'informations sur mon concept de séjours expérientiels à vélo, tout au long de ce périple-éclaireur...

Ainsi, vous serez témoin de mon travail sur le terrain et ma mission de faire découvrir le mode de vie des artisans, tout en pédalant à la vitesse du temps!

En mots, en images et en émotions!!

Première destination,...Caraquet, la capitale des Acadiens

*Les séjours expérientiels à vélo sont le fruit de mes expériences cyclotouristques mais aussi mon désir de concevoir des circuits personnalisé , porteur de sens, par les sens, pour revenir à..l'essentiel! Quoi de mieux que le vélo pour réunir tout cela ensemble! 

mercredi 25 mai 2011

Il était une fois...les indiens

De retour du far-west américain, de ma rencontre avec les Navajos (leur territoire et leur culture) combiné  au développement de mon nouveau concept de séjour expérientiel à vélo, je vous propose une réflexion à "air ouverte", sur le sens de l'apprentissage selon la philosophie amérindienne;

  Les amérindiens nous ont laisser, aux cours des siècles, un monde empreint de mythes, de symboles et d’éléments  sacrés . Ce peuple, jadis,  uni à la terre. Mais que reste-t-il de la richesse de leurs enseignements? Est-il enseveli sous le poids du monde moderne? Bien que l'impression que la ligné des connaissances amérindiennes ce soit dissout, voir même éteinte, elle est toujours vivante. D'une richesse et d'une valeur inestimable, aux yeux de ceux capable de comprendre l'essence de leurs traditions et de leur communion avec la terre mère.

Pour ma part, plus les années passent et plus je réalise l'importance de revenir à la maison.. Je ne fais pas illusion à une adresse civique quelconque (quoique nécessaire pour mieux s'enraciner!) .mais plutôt un état d'être propre à un sentiment maternel. La sensation de renouer avec la chaleur humaine, la simplicité par l’équilibre des quatre éléments. Bon, je vous mets en garde; aux cours des dernières semaines., j'ai "épluché" un nombre considérable de livre dédié à la philosophie amérindienne. Accroc d'un retour aux sources par la voie simple et naturel, je ne fais que du rattrapage académique!

À ce sujet, et selon mon avis, les écoles publiques gagneraient d'avantages à orienter leurs approches académiques de manière plus globale. Pour mieux ce comprendre afin de mieux interagir avec son environnement intérieur et extérieur. Du chinois, vous me direz! N'empêche. les écoles de demain qui miseront sur l’apprentissage qualitatif (moins mais mieux) par l'expérience deviendront, un jour, une nécessité pour pallier les maintes déficit du monde moderne. Loin des établissement misant essentiellement sur un apport quantitatif (toujours plus,plus, plus d'informations!). Car au-delà du paraître, de l'avoir, du faire et du savoir, réside un élément souvent négligé l'être.

En ce sens, le mode de vie ancestral des amérindiens peux nous transmettre une manne de possibilité et d'alternative, issu de l'école la plus modeste qui soit; C-elle de la vie. La nature étant sa tutrice.  Pensez-y, un retour aux sources obligé, avant que l'être devienne le faire!



Avant de se faire aspirer par son inspiration

L'inspiration me déborde l'imaginaire depuis quelques temps!.
Voici donc un poème sur mesure pour tous les artisans de ce monde;

Elle arrive de partout et de nulle-part.
L’envie d’inspiration peu vous prendre à tout instant,à toutes heures de la journée,
Ce vas-vite causé par un esprit trop agité,
San doute une manière d’évacuer la vacuité du cerveau avant de déborder!
Alors toujours, soyez prêt, toujours au boulot,
Elle arrive soudainement, sans avertissement,
Ou elle nous boude pour un certain moment.
Mais toujours, elle nous surpasse inlassablement.
Maîtresse de la folie, elle s’acharne sur n’importe qu’elle idéologie,
En autant qu’elle puisse assouvir sa fantaisie, réinventer le monde selon ses envies.
Alors allez-y, faite lui plaisir, ouvrez votre esprit, faite de la place pour son génie.
Toujours elle vous surprendra par sa poésie, sans répit.
Puisque l’inspiration est votre plus précieux alibi,
Pour donner vie à vos fantasmes endormis,
Par le conte, la poésie, ou même la philosophie.
Mais toujours pour défense, il faut se détendre.
Car fatigué d’être condamné par sa voie chantante,
Vous devez trouver un moment de silence, avant d’appuyer sur la détente!

dimanche 17 avril 2011

Premier coup de pédale de la saison..dans la jungle urbaine!

Premier coup de pédale depuis les cinq dernier mois. Certes la fatigue musculaire ce fait vite sentir, le manque de coordination et les réflexes aussi, mais le plus atroce reste le décor extérieur qui ce dessine devant moi. Atroce puisque le cycliste que je suis, semble soudain un obstacle pour les autres usagers de la route (étrange, puisque j’ai roulé pendant des mois, dans divers pays. Le respect était de mise, ici, c’est forcément autre chose!). Je suis donc perçu comme un gros boulet sur deux roues, qui devrait presque s'excuser de choisir un mode de transport moins énergivore et moins rapide que la flotte qui me colle à l’arrière-train. Je persiste et signe; Avancer à la vitesse d'un papillon est un bénéfice en soi, pour le corps, le mental et…sauf lorsque précipité dans la tyrannie de la jungle urbaine! Et je vous parle d'une petite ville comme Québec, imaginer les autres métropoles alors! Le choc est soudain, de voir, certains, automobilistes, fous furieux, enragés et dominants sur des routes empreints de nids....d'autruches!! Assez gros pour vous engloutir tout entier! J'en ai presque fait l'expérience, dès mon arrivée sur le bitume fissuré de la rue principale.

Pas grave, t'as juste à prendre ton char comme tout le monde, de répliquer la horde de fidèle qui ne jure que par leurs engins mécaniques sur quatre roues, qui crache des bruits et des odeurs qui étouffe le bruit déjà sourd de mon coup de pédale méthodique.

Enfin, il ne me servirait à rien de sur-louangé le véhicule de l'avenir. Ben oui, le vélo! Le temps, et les questions environnementales, versus le charivari des méga lobbyings de l'industrie du pétrole et de l'automobile, finiront bien par donner des résultats. Tôt ou tard, les fautifs finiront bien par ce mettre un doigt dans l’engrenage. (D’ici-là, Ils peuvent bien ce le mettre là ou je le pense!) N'empêche, si je devais dépeindre un monde sensé et parfait, je crois l'automobile, le premier élément que je foutrais à la poubelle!

Confession d'un cycliste engagé, enragé mais passionné de cette petite merveille appelé le vélo.

« Et dire que je m’apprête à pédaler une série de kilomètres, avec zéro entraînement vélo depuis les derniers mois, sur les terres Navajo du Colorado, dans moins de quelques jours. (Je sens déjà mes mollets, mes fesses et mes cuisses me hurler l’atrocité de ce supplice aux oreilles!) »

dimanche 3 avril 2011

Entrevue radio et préparation "mentale" pour le Colorado.

Pour en savoir plus sur mes futurs séjours expérientiels à vélo (à la carte), mes conférences-partages et la suite de Philo@vélo / synthonisez le 100,3Fm 100.5 câble et sur la planète par internet www.cihw.org. L'émission Option;Noble Nature à la radio communautaire de Wendake. Pour le meilleur par bons plaisirs. Merci de partager au plus grand nombre!
Ce sera l'occasion d'exprimer ma position face au jeunes, la société, la consommation, les changements climatiques "intérieur", le Dieu web, et surtout comment tout c'est élément s'interfèrent dans notre époque actuelle. 
Le Grand Canyon sera l'étape suivante de "backwash" pour faire de la place pour du neuf. Je sens que je vais être très occupé dans les prochaines années!!  Mais je reste vigilant pour suivre la consigne à la lettre; Un coup de pédale à la fois!

jeudi 31 mars 2011

À tout les reproducteurs de services, désabusés d'un mode de vie banal....

Il y a longtemps de cela,  j'étais un reproducteurs de services/ fonctionnaire-fonctionnel par besoin et non par plaisir (Ben quoi? je devais mettre du beurre sur mon pain, au lieu de la margarine!), malheureux, parce que désabusés d'un mode de vie devenu banal, prévisible et donc fatal (ce sont les  symptômes existentiels- les dépendances- qui parle d'eux-mêmes.)J'avais donc recours à une série d'exutoire pour pallier mon manque de vrai et d'essentiel.

Jusqu'au jour ou je fis une visite qui changea ma vie;

Je me rappelle le jour ou j'ai visité l'abbaye de St-Benoît du lac. Un impression de déjà-vu m'envahissa dès mon arrivé sur les lieux..Bercé par un silence absolu, enveloppé par un amour fraternel sans conditions, je me sentais porté par cet endroit défiant les lois du temps et du conditionnement...humain. Étais-je promu à devenir un moine? Dans la contemplation et la réflexion du moment,  Moi, girouette depuis toujours, résolu à voyager et ne jamais m'arrêter?Ce moment fût sans doute l'initiateur d'une série d'événement mystique qui m'amène à ce jour.

Selon moi et bien que la vie en communauté existe depuis toujours, elle c'est littéralement effriter pour faire place au culte de l'individualisme. Porté par des modes de vies toujours plus sédentaires et oh! combien...solitaires. .PLUS, PLUS, PLUS DE MATÉRIEL POUR MOINS, MOINS, MOINS DE SPIRITUALITÉ!!Ainsi vas le progrès, depuis l'ascension fulgurante des sociétés «dîtes» modernes, l'essence de la vie communautaire, tends à disparaître.

Autrefois le lien solidaire entre les peuples de même culture à travers le monde arts, des religions et depuis peu des activités sportives (la saga du retour des bleus à Qc, en est une preuve flagrante!). La devise du Tous réunis pour une même cause semble avoir préalablement remplacé par un me, myself and I catégorique. Les faits et l'effet- domino de l'individualisme parle d'eux-même, je ne fais que relater!


Afin de mieux vous situer dans cette réflexion, je vous propose la vison de Jean Vanier (fondateur des communautés pour handicapés l'arche)sur les communauté, leurs origines et leurs raisons d'être; L'essence de son livre;  communauté lieu de pardon et de fête, ce résume à ceci; Servir au lieu de ce servir. (Pour guérir et détruire le nain de l'indifférence qui cause des dégâts plus atroces que n'importe lequel Tsunami!!)





vendredi 11 mars 2011

Soi le chemin en créant celui qui te convient

Ce petit bout de phrase m’a harcelé tout au long de mon voyage à vélo. C’est maintenant que j’en comprends la signification. Dans la vie tu as deux choix; être l’artisan de ton bonheur ou de ton malheur. Chaque gestes, paroles que tu engage te révèle à chaque instant. Depuis mon retour, je suis tiraillé avec cette dualité constante; Reprendre la route ou rester? Choisir d’être une victime ou créateur de ma vie? Les règles n’ont pourtant pas changé depuis.  Je m'empreint donc de l’évidence de cette réflexion pour mieux extirper le vieux malaise qui attends tout voyageur en herbe;  la nostalgie. Surtout pour éviter de me faire emporter par le vague à l'âme de l’indécision!
Les montagnes russe de l’existence humaine me donne parfois le haut le cœur. Imprévisible certes, mais aussi long qu’incertain par moment. Une chose est certaine, je fais face à une série d'attente depuis ce retour. Un must pour que l'ennuie puisse ce frayer un chemin. Car qui dit attente dit également ennui. Alors aussi-bien vous exprimer ma vision de l'ennui sur nos modes de vie..Moderne, mais oh! Combien médiocre et vide de banalité. L’ennui, ce tueur silencieux que je qualifierai de virus contagieux, se propage à une vitesse vertigineuse dans notre monde moderne. L'ennuie ce fait ami avec les attentes causé par l'envie, et vice-versa. Attention! Il est peut-être plus près que vous ne le croyez! Puisque le besoin de remplir, de vider, de bâtir et de détruire semble être son petit rituel de chaque instant. Une sorte de routine éternelle de l'existence humaine. Ce vas-et-viens est la somme de cette expérience appelé la vie. La sécurité physique et même émotionnel, qui en découle, n'est ainsi que pure illusion. Un mirage qui attrape bon nombre d’entre-nous. Un piège à rat très efficace!
Puisque la vie, à son expression la plus simple est un monde en devenir;
 L’expression véhiculé par les émotions, déferle sur cette toile et enchaîne une série de monde infini. L’artisan du bonheur ce réjouis de sa participation à travers un pareil chef-d’œuvre et ce régal même de ses erreurs. Tandis que l’artisan du malheur subit les traumatismes, les failles et le vide créer par les mêmes émotions et contemple le syndrome de sa propre toile blanche! Aspiré à une vie de… désespéré!